Cet article a été rafraichis en février 2021.
Cet article est une mise à jour de mon article Pourquoi avoir une boutique en ligne ? publié fin 2017.
Merci au CEFRIO pour son rapport « NETendances 2019 Le commerce électronique au Québec » et son analyse « Le commerce électronique toujours en croissance » référencés dans cet article. Les liens vers le site du CEFRIO ont été retirés suite à la fermeture de leur site Web.
Si vous avez une entreprise B2C (Business to Consumers), la réponse est presque dans tous les cas “oui”.
Avoir un site e-commerce est similaire à avoir une succursale supplémentaire à votre commerce ayant pignon sur rue. Cette “succursale” est toutefois ouverte 24/7 toute l’année en plus de travailler pour vous au niveau de l’acquisition de nouvelle clientèle.
Cet article a été écrit début avril 2020, soit en pleine crise du COVID-19 pendant qu’une grande partie de la population planétaire était dans la première période d’isolation sociale pour ralentir la propagation.
Vu la mobilité réduite d’une bonne partie de la population et tout les commerces et services non-essentiels fermés au Canada, plusieurs se sont tournés vers les achats en ligne. Si la crise du coronavirus se poursuit, il y a fort à parier que l’habitude d’acheter en ligne va s’implanter pour plusieurs d’entre-nous et se maintenir une fois la crise passée. C’est d’ailleurs ce que l’on observe en 2021.
Selon les recherches du CEFRIO, les cyberacheteurs québécois ont dépensés en moyenne 318$/mois en 2019.
Imaginez maintenant si quelques centaines ou quelques milliers d’entre eux dépensaient cette somme sur votre site e-commerce!
Plus de 80% des adultes québécois de cette tranche d’âge ont effectués des achats en ligne en 2019 contre 63% pour la moyenne tout groupes d’âge confondus.
Considérant que cette tranche d’âge regroupe la majorité des adultes actifs sur le marché du travail, il est évident que le potentiel de vente est énorme.
67% des adultes québécois détenant un diplôme collégial et 78% des adultes québécois détenant un diplôme universitaire ont effectués des achats en ligne en 2019 comparativement à 43% des québécois diplômés primaire/secondaire.
Si votre persona (auditoire cible) a un niveau d’éducation plus élevé, ils achètent pour la majorité déjà en ligne ce qui signifie que la friction pour les convaincre d’acheter chez vous sera moindre.
Vêtements, chaussures, bijoux et accessoires | 38% |
Billets de spectacles et de divertissement | 30% |
Musique, films et jeux vidéo | 29% |
Produits électroniques | 24% |
Jouets et jeux | 23% |
Représente le pourcentage des adules québécois ayant acheté des produits ou services de ces catégories en 2019.
Souvent quand on pense e-commerce, on pense à des produits que l’on peut mettre dans une boite et envoyer par la poste. Hors, il est aussi possible de vendre des produits digitaux (vidéos de formation, podcast, ebook, etc.) et des services (coaching, consultation, graphisme, etc.).
Selon les experts, offrir le ramassage sur place pour les achats effectués en ligne est une tendance en croissance. Ça fait du sens considérant que les consommateurs ont de moins en moins envie de perdre leur temps à parcourir les allées des grandes surfaces.
Vos clients seront reconnaissants de pouvoir effectuer leurs achats en ligne et ensuite faire un arrêt rapide à votre boutique pour le ramassage. De plus, une fois sur place ils pourraient effectuer des achats supplémentaires.
C’est 57% des adultes québécois qui effectuent au moins un achat par mois sur Amazon.
Vous pouvez vous démarquer en tant qu’entreprise locale en offrant un service après vente sur place ou en offrant des produits/services qui ne sont pas disponibles sur le site d’Amazon. C’est d’ailleurs une des stratégies que Best Buy a adopté (avec succès) pour se démarquer d’Amazon.
C’est 74% des cyberacheteurs québécois qui accordent de l’importance à la possibilité de retourner la marchandise en magasin.
À priori, des retours peuvent sembler indésirables pour votre commerce. Pensez à tous ces consommateurs qui se rendent sur place retourner un produit. Ils pourraient lors de la même visite effectuer un achat qu’ils n’auraient autrement pas effectué en retournant la marchandise par la poste!
Encore selon l’étude du CEFRIO, c’est 58% des internautes québécois qui utilisent (« souvent » ou « à l’occasion ») l’inventaire affiché sur le site e-commerce d’une boutique avant de se déplacer pour faire leur achat sur place.
Donc, même si la vente n’est pas complétée en ligne, ça pourrait tout de même être votre site le point de départ de la transaction. Dans cette optique, vous pourriez mettre votre catalogue sur votre site sans activer la vente si vous n’avez pas les ressources pour gérer des commandes reçues via un site e-commerce. La vente en ligne pourrait être activée ultérieurement.
Mes articles WooCommerce vs Shopify : quelle est la meilleure plateforme de commerce électronique ? et Est-ce que WooCommerce est la meilleure solution eCommerce pour mon entreprise ? sont un bon point de départ.
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